Comment définissez-vous le métier de cafetier ?
C’est un des plus vieux métiers générant de la convivialité et de la sociabilité. Le café ou le bistrot diffère de la restauration dans la mesure où il offre un service en continu, tout au long de la journée et répond à des impératifs de rapidité.
Pour le moment il n’y a pas de label équivalent au titre de Maître Restaurateur destiné aux cafés. C’est pourquoi, à la CPIH, nous sommes en train de mettre en place une charte de qualité, basée sur le « Café à la française » destiné aux activités de restauration, de cafés et de brasseries qui ne se retrouvent pas dans le titre de Maître Restaurateur.Quels seront les principes de mise en place de ce nouveau label ?
Cela va démarrer rapidement, dans les mois qui viennent. L’objectif est de tirer les entreprises vers le haut et de mettre en valeur les produits de consommation, en restauration comme en boissons, avec une double démarche de mise en avant des marques, notamment en boissons, et de valorisation des produits frais pour la restauration. Il y aura un système d’audit et de vérification accordant beaucoup d’importance à la qualification du personnel, au respect des règles d’hygiène et à la mise en place de démarches liées au développement durable. Ce label ne se veut pas le concurrent
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