Le Groupe Logis Hôtels enregistre une nouvelle progression cet été avec un chiffre d’affaires en hausse de 16 % entre le 1ᵉʳ juillet et le 31 août, marquant ainsi sa 7ᵉ saison de croissance consécutive. La maîtrise des prix a contribué à ce résultat. Le tarif moyen n’a progressé que de 4 %, un effort compensé par le programme de fidélité ETIK, qui propose 5,5 % de cashback par séjour. Ce dispositif séduit une clientèle soucieuse de préserver son budget et génère une hausse de 8 % du chiffre d’affaires lié au programme. Il a également permis une croissance de plus de 50 % des ventes en direct via la centrale de réservation. Le mois de juillet a été marqué par un rebond de la clientèle affaires (+24 %), tandis que l’effet JO continue de se faire sentir auprès de la clientèle internationale (+7,3 %). Les touristes suisses enregistrent la plus forte progression (+25 %), suivis des Britanniques (+16 %), des Allemands (+15 %), des Belges (+11 %) et des Néerlandais (+1 %). La clientèle française reste majoritaire et progresse de 21 %. Toutes les régions du réseau sont en croissance, avec un attrait marqué pour les destinations nature. L’Occitanie et l’Auvergne-Rhône-Alpes affichent chacune +20 % de réservations, la Bretagne bénéficie de l’effet canicule (+18 %), la Normandie profite d’une météo clémente (+27 %) et la Nouvelle-Aquitaine progresse de 17 %. La diversité du portefeuille de marques a également porté la saison : les enseignes premium Demeures & Châteaux et Singuliers Hôtels gagnent +50 %, tandis que les marques urbaines Urban Style et Cit’Hôtel affichent +35 %. « Le Groupe Logis Hôtels affiche une 7ᵉ année de croissance consécutive sur la période estivale, démontrant la robustesse de son modèle, au service d’une hôtellerie et restauration familiale et déstandardisée, commente Karim Soleilhavoup, directeur général du Groupe Logis Hôtels. Notre stratégie de distribution innovante et performante nous permet de renforcer la visibilité et la rentabilité de nos établissements, tout en limitant le poids des OTA qui représentent à peine 50 % des réservations digitales de la saison ».
L.J
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