
Après une deuxième journée de conférences portant sur la reconquête des clients et les approches de développement durable, le GNI a clôturé son 6è congrès annuel le 16 novembre, en présence d’Elisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion.
Le président du GNI, Didier Chenet, a notamment remercié la ministre pour la prise en charge des salariés au titre de l’activité partielle durant la crise. L’attractivité des CHR et des métiers doit aussi s’appuyer sur des outils et notamment la digitalisation, a poursuivi le président. « La digitalisation de nos établissements est engagée et doit s’accélérer. Pour cela, il est indispensable de convaincre nos professionnels du retour sur investissement qu’ils peuvent attendre de cette digitalisation. Le défi mérite d’être relevé en accélérant la sensibilisation et la formation de nos professionnels au numérique », a ajouté Didier Chenet, en précisant que le syndicat vient de remporter un appel à projet dans ce domaine de Bpifrance. Parmi les autres propositions du GNI, la simplification et l’amélioration des dispositifs d’accompagnement des entreprises d’aide à la digitalisation qui restent méconnus ou encore la création d’un observatoire du digital. « Le chèque numérique national de 500 euros ne permet pas d’engager un processus de digitalisation. Quant aux multiples dispositifs régionaux, s’ils ont le mérite d’exister et de venir en complément, rares sont les professionnels qui les connaissent et y ont recours », a complété le président. Autre point soulevé, recourir à une écologie pragmatique comme la
Il reste 72% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Industrie Hôtelière à partir de 30€
S'abonner