Suite aux déséquilibres constatés dans les rapports qu’entretiennent un certain nombre de centrales de réservation et les établissements hôteliers, la DGCCRF a détecté des clauses considérées comme illicites rapportées par la Commission d’Examen des Pratiques Commerciale (ce qui a notamment conduit à l’assignation en justice du groupe Expedia). La CEPC a en effet relevé de la part des centrales une interdiction de proposer des tarifs plus attractifs que les leurs, ou encore l’obligation de la mise en vente de la dernière chambre disponible sur la plate-forme de centrale de réservation.
Les ministres Sylvia Pinel, Benoît Hamon et Fleur Pellerin se félicitent de ces actions, qui pourront être réitérées à l’avenir. « Les agences de voyages en ligne permettent une meilleure visibilité de l’offre d’hébergement au niveau international, mais les relations contractuelles doivent être davantage équilibrées entre les centrales de réservation et les professionnels » explique Sylvia Pinel. « C’est le sens des actions engagées par le Gouvernement. Nous encourageons aussi les professionnels du tourisme à se rassembler pour faire du numérique un opportunité de développement ».
14 novembre 2013