
À la veille des élections présidentielles, l’industrie hôtelière est en proie à bien des doutes sur son avenir. Pour de nombreux hôteliers, l’année 2016 s’est achevée dans la douleur avec une nette baisse de leur chiffre d’affaires, résultant d’une diminution drastique de leurs prix moyens et d’une fréquentation en berne (- 5,5 % à Paris en 2016 selon les données de MKG Consulting). Qui apportera un nouveau souffle au secteur et renversera les prévisions qui assombrissent l’avenir ?
Alors que les élections se dérouleront dans quelques mois, silence radio du côté des instances représentatives de la profession. Quelle mise en avant de la profession auprès des candidats à la présidence ? Qui prendra la mesure de la contribution du secteur de l’hôtellerie-restauration – l’un des premiers employeurs de France – au dynamisme de notre économie ?
Reste à ne pas se laisser dominer par le pessimisme ambiant et aller de l’avant. Dans un environnement en mutation incessante où le client impose ses diktats, la motivation et la volonté d’entreprendre des professionnels, passionnés par leur métier, seront des alliés précieux. La faculté d’adaptation et la capacité à se renouveler seront plus que jamais déterminantes pour tirer son épingle du jeu.
2017, Année internationale du tourisme durable proclamée par l’Organisation des Nations Unies, influencera-t-elle les hôteliers à explorer de nouvelles voies alors que ces approches restent encore si peu répandues ? Des démarches riches d’enseignements qui contribuent à préserver la planète et avec à la clé
Il reste 15% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Industrie Hôtelière à partir de 30€
S'abonner