
Le 18 septembre, ils étaient une quarantaine de membres de la Coordination des intermittents et précaires à occuper le chantier de rénovations de l’hôtel Lutetia, à Paris.
Une manifestation survenant le jour de la reprise des travaux de la concertation ouverte au mois de juin dernier par Manuel Valls, concernant la « refonte » du régime des intermittents du spectacle.
Une banderole sur laquelle était inscrit « De l’argent, il y en a, construisons de nouveaux droits » trônait sur la façade de l’hôtel vendu 135 millions d’euros au groupe Alrov il y a 4 ans. Une action défendue par la CIP pour lutter contre « la casse des droits sociaux des chômeurs, précaires, intermittents et intérimaires, aggravée par la mise en place de la convention d’assurance-chômage du 22 mars ».
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