Allez, je propose qu’on taxe tous les contribuables actifs en installant des portails de mesure nasale électronique.
Ce contrôle s’effectuerait (dans un premier temps !) à l’entrée de chaque entreprise (coût du matériel de contrôle mis en place bien entendu et comme d’habitude, entièrement à la charge de l’entreprise, sans aide ni compensation) pour évaluer le montant de taxe sur l’air que chaque individu actif est capable de respirer.
Il sera donc encore possible par la suite (on s’en garde sous le coude) de s’attaquer aux particuliers (inactifs, chômeurs, retraités, jeunes scolarisés et étudiants) pour gratter encore un peu plus de taxes et ceci en mettant en place de nouveaux systèmes de contrôle dont nous ignorons encore la complexité, mais faisons confiance à l’esprit tortueux de nos technocrates pour inventer une méthode assez tordue pour que personne n’en comprenne véritablement le fonctionnement.
Tout cela nécessitera la création de postes de fonctionnaires supplémentaires (emplois d’avenir pardi !) pour évaluer la qualité des contrôles effectués par chaque portail, vérifier si l’employeur est bien aux normes et s’il vérifie bien régulièrement (à ses frais bien sûr !) le bon fonctionnement du dit portail et pour guetter les fraudes éventuelles !
Allez, je délire !! Quoique...
Les articles L2333-97 et suivants du Code de l’environnement instaure une taxe annuelle, la TGEPU, pour la gestion des eaux pluviales urbaines correspondant à la collecte, au transport, au stockage et au traitement des eaux pluviales des aires urbaines et constitue un service public administratif relevant des communes.
Les communes qui ont pris une délibération en ce sens avant le 1er octobre 2013 pourront recouvrer dès 2014 la TGEPU.
Vous remarquerez tout de même que toutes ces mesures ubuesques qui, elles, sont bien réelles, se rapprochent tout doucement du domaine de la fiction, non ?
Des valeurs, un esprit... de l’action !
L’Apiih, Association des Professionnels Indépendants de l’Industrie Hôtelière, née en 2010, réunit des professionnels en activité, bénévoles, qui ont décidé de prendre leur indépendance pour la défense de l’entreprise patrimoniale. Leur objectif est d’agir et imaginer l’avenir de la profession, en toute indépendance des grands groupes afin de promouvoir la diversité. L’Apiih s’engage pour la reconnaissance de la restauration artisanale, la commercialisation directe des hôtels ou des restaurants ou encore le renouveau des bistrots. L’association invite tous les représentants d’entreprises patrimoniales, indépendants, franchisés ou adhérents à une chaîne volontaire, à s’engager pour faire entendre leur voix.
Contact : Apiih - contact@apiih.fr
58, Boulevard G. Roch - 44261 Nantes cedex 2.
Tel. : 02 40 48 49 05. Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 18h