Et ce n’est pas fini. Le blé est passé de 120 euros la tonne à plus de 230 euros en septembre après la sécheresse qui a frappé la Russie. Si les céréaliers se frottent les mains, le reste de la filière, notamment le pain et la viande (dont l’alimentation représente 2/3 du prix de revient), voient leurs coûts de production grimper fortement. Les sucres et oléagineux, le café et le cacao ne sont pas en reste. Par ricochet, ces hausses pèseront rapidement sur les coûts de revient de la restauration.
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