Ce 13 septembre, une cinquantaine de membres de l’Umih 44/49 s’étaient déplacés pour prendre part à cette AGE dont les suites pourraient décider du maintien ou non de la Loire-Atlantique dans la conféadération. La principale initiative du jour, la création officielle de l’APIIH, a été votée à l’unanimité moins l’abstention d’un membre du GNC. « Un vote avec urne et isoloir sous le contrôle d’un huissier de justice », précise Philippe Quintana qui tient à ce que les formes soient respectées. Celui-ci avait annoncé qu’il remettrait sa démission dans l’hypothèse ou ce projet viendrait à être rejeté par l’AGE. Tout simplement, avait-il souligné parce qu’il lui paraîtrait impossible de poursuivre sa mission de dirigeant de l’Umih 44/49.
L’APIIH, telle que ses statuts la définissent, est une association dont la finalité est de fédérer les départements de l’Umih qui demandent que les chaînes cessent de peser dans la ligne en vigueur au syndicat. Elle demande purement et simplement que le Groupement National des Chaînes quitte l’Umih et que celle-ci puisse agir dans l’intérêt des patrons indépendants.
Pour l’heure, Philippe Quintana n’a pas l’intention de demander à ses adhérents de quitter l’Umih nationale (v. entretien). L’APIIH existe en tant que structure nationale et compte agir au sein de l’Umih. Son président et son bureau ont la même composition sont les mêmes que ceux de l’Umih 44/49. Mais les propos que nous avons recueillis auprès de Philippe Quintana ne laissent pas de doute
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