Vous êtes président de l’Umih 81 depuis 2006. Quelles sont vos principales satisfactions en tant que président de département ?
C’est tout d’abord d’avoir augmenté le nombre d’adhérents et de continuer à le faire. En 2008, nous avons progressé de 8 %. Bien sûr, avec 210 adhérents, nous restons un « petit » département. Le Permis d’exploitation est un bon levier et au moment des appels de cotisation, on contacte tous les CHR. J’ai aussi la satisfaction d’amener au conseil d’administration des professionnels en activité et de tous horizons.
Comment vous sentez-vous en tant que « petit » département ?
C’est toujours une volonté d’être mieux représentés, même si je n’ai pas l’impression de peser moins que les autres. Je crois qu’on va dans le bon sens pour ce qui est d’écouter les départements.
Pensez-vous que le dossier de la TVA à 5,5 % a été bien géré ?
Les syndicats ne représentent pas la majorité des professionnels. Ils n’ont pas de prise sur les non adhérents qui ne se rendent pas compte de ce que cela change sur le chèque qu’ils font au Trésor public. En revanche, je n’apprécie pas que l’Etat ne tienne pas parole, que des députés aient cherché à supprimer l’avantage nourriture.
Comment réagissez-vous aux critiques des média en direction des restaurateurs ?
Quand on nous dit que nous n’avons créé que 6 000 emplois… alors que la plupart des secteurs ont licencié. Nous payons le lynchage médiatique de Sarkozy. On aurait dû signifier
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