«J‘ai voulu une assemblée générale très technique, avec des intervenants spécialisés, car c’est une de nos missions que d’apporter des réponses à nos professionnels. C’est notre rôle de les mettre en relation avec les bons interlocuteurs », expliquait Yves Parcheminer, Président de l’Umih costarmoricaine réunie pour l’occasion au Casino du Val-André.
Au programme de cette après-midi studieuse : l’évolution de la réglementation sécurité-incendie-handicap avec le Comité départemental du Tourisme ; un historique « TVA » par le Président des restaurateurs et une « photographie » de l’Observatoire du commerce indépendant par l’Union régionale des centres de gestion agréés « parce que nous avons trop tendance à faire du social dans nos AG alors que l’économique est important. N’est-il pas le moteur du social ? ».
Des idées neuves pour être « moderne » ?
Sur ces questions économiques, justement, l’évocation des chambres d’hôte incitait le représentant de la DGCCRF à s’engager sur l’ouverture d’une enquête, quand cela s’avérait nécessaire, afin de veiller « qu’à condition d’exploitation égale, les charges sociales et fiscales soient les mêmes » (ndlr) : que celles réclamées à un hôtelier) dans un « souci d’établir une concurrence saine ».
L’évocation de la réforme du classement hôtelier permettait de préciser que l’Agence Nationale de Développement Touristique est « la nouvelle entité, née de la fusion annoncée fin avril, de Audit France et Maison de la France, qui va s’assurer des critères de révision et de la classification des installations ». Ces critères, condensés déjà dans un
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