L’UMIH est une famille avec des membres qui s’apprécient plus ou moins, mais c’est une famille, dont nous faisons d’ailleurs nous même partie. Et nombre d’entre-vous, qui dirigent des entreprises familiales, comprennent le sens que j’attache à ce mot.
Dans la dernière période, beaucoup se sont émus du rôle que va tenir le GNC dans les élections confédérales du 15 septembre 2008.
Le GNC fait partie de la famille et le GNC a le droit de voter. Mais dans une famille, si certains membres sont plus influents que d’autres, il n’est jamais bon qu’un seul prenne les décisions à la place des autres.
Les familles ne sont vraiment fortes que lorsqu’elles sont unies. Que vaudrait un ou une Présidente de l’UMIH qui serait élu par le GNC et par une petite minorité d’indépendants ? Qui écouterait sa voix ? Comment pourrait-il convaincre les pouvoirs publics français et européens, alors même qu’il n’a pas su s’imposer dans l’ensemble de son camp ? Pire encore. Le laisserait-on faire ? Il arrive trop souvent que les familles tyranniques éclatent et, dans ce cas, tout le monde y perd.
De formidables défis attendent notre profession dans les années qui viennent et nous aurons besoin d’un dirigeant ou d’une dirigeante, qui ait la confiance de tous, et qui puisse parler aussi bien pour le GNC que pour les indépendants, aussi bien pour les hôteliers, que pour les restaurateurs et les cafetiers, qui travaillent souvent dans de petites entreprises.
C’est l’intérêt
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