«Nous savons déjà que nous allons manquer d’employés d’étage et de personnels de service», indique Jean- François Serazin
le Président de la FNPHS. «Une opération de presse de vaste envergure auprès des medias professionnels
va permettre aux saisonniers de démontrer que c’est au sein de l’UMIH que l’on rencontre le plus d’entreprises saisonnières. L’objectif est de faciliter les démarches
et la venue de la main d’oeuvre étrangère,
car aujourd’hui c’est toujours le parcours du combattant.
En théorie, les travailleurs européens ont le droit
de travailler dans le pays européen de leur choix
en réalité les démarches administratives sont telles qu’il faut six mois pour embaucher un saisonnier : durée de la saison. Il est vital pour nos entreprises
saisonnières que
la législation du travail
saisonnier évolue.»
Autre sujet épineux :
la convention Unedic du
18 janvier 2006 qui supprime le chômage des saisonniers réguliers, dès leur troisième ouverture de droit.
«Nous sommes en contact avec la CGPME et l’Unedic pour essayer de débloquer
la situation.»
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