Une nouvelle image du bistrot


© L. MarquezLa Ferrandaise dispose d’une centaine de places assises, dont une quarantaine au sous-sol dans une cave voûtée qui date du XVIème siècle.


Gilles Laniot est auvergnat d’origine et il a commencé sa carrière, il y a 28 ans, comme garçon de café. «Puis, j’ai pris plusieurs affaires en gérance, notamment les Hirondelles à Aubervilliers et le Relais d’Auvergne à la Gare d’Austerlitz. Ensuite, j’ai tenu un bar à bières rue Dauphine à Paris, pendant 13 ans», indique Gilles Laniot. «Je travaillais la nuit et j’avais envie de revenir à mes premières amours, à savoir la restauration et c’est ce qui m’a poussé à reprendre ce restaurant, en association avec le chef Nicolas Duquenoy.»


Une cuisine traditionnelle à la sauce moderne


L’établissement dispose d’une centaine de places assises, dont une quarantaine au sous-sol dans une cave voûtée qui date du XVIème siècle. «Lorsque j’ai visité cette affaire, j’ai pensé qu’il était possible d’en faire quelque chose. En effet, la cave n’était pas exploitée et la cuisine était déjà importante. Nous l’avons améliorée, © L. MarquezC’est un décor qui devrait vieillir. Les feuilles vont jaunir, mais elles devraient tenir aux branches.en changeant par exemple les frigos. De plus, le restaurant est situé à deux pas du Théâtre de l’Odéon, du Sénat, de la Sorbonne, et nous avons beaucoup de touristes et quelques sociétés importantes dans le quartier.»


Pour la Ferrandaise, le succès


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