«Sur le littoral et sur les îles, nous avons réalisé une
saison moyenne», indique Jean-François Serazin
Président de l’Umih 56. «Mais les résultats ne sont pas les mêmes dans toutes
les catégories d’établissement. Les pizzerias,
les saladeries et les
crêperies se développent, alors que la restauration
gastronomique traditionnelle est en difficulté. Tant que nous n’aurons pas la TVA
à 5,5 %, nous ne nous en sortirons pas.»
D’où l’engagement
du syndicat. «Nous avons commandé 150 banderoles, ce qui signifie qu’un patron sur deux est prêt
à les afficher.»
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