Des fêtes de Pâques au mois de mars, un lundi de Pentecôte travaillé, la saison a eu du mal à démarrer à Lourdes. «C’est un véritable manque à gagner pour notre profession, constate Jean-Marie Attard. Les communautés espagnoles et portugaises de la région parisienne, qui avaient l’habitude d’organiser un voyage en car lors du week-end de Pentecôte pour venir à Lourdes, ont manqué à l’appel.» Les hôtels ont beaucoup plus mal travaillé que les années précédentes. Il aura fallu attendre le pèlerinage militaire du dernier week-end de mai pour que l’activité reprenne normalement.
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