Quand Jean-François Sérazin organise l’assemblée
générale du département qu’il préside, le Morbihan,
il prend tout simplement exemple sur le congrès
national qu’il décline
à l’échelle locale.
Le 14 mars, ce rendez-vous annuel s’est déroulé dans les locaux de la CCI
de Vannes. Dès 9 heures, 150 professionnels ont suivi des ateliers traitant des questions spécifiques à leur secteur, comme : charte
sur les terrasses, loi Evin, horaires, sécurité pour
les cafés et discothèques, HotelCert, yield management et hôtellerie familiale pour les hôtels, huiles de friture, risques professionnels,
crêperies, Ambassadeurs Métiers, cellule hygiène pour les restaurants. Des sujets communs ont également été abordés par des intervenants qui ont tourné dans
les ateliers : avenant
à la convention collective, CQP, prévoyance et contrôle et contentieux fiscal.
La séance plénière s’est
ouverte l’après-midi sur
un discours de
Jean-François Sérazin qui
a rappelé que le Morbihan compte 2 900 établissements, dont plus de 60%
adhèrent à l’Umih,
qui emploient plus de
12 000 salariés, dont plus de 50% de saisonniers. Le président a exprimé son inquiétude au sujet
de la saturation des POS
sur le littoral, situation
qui transforme les hôtels
en cibles pour
les promoteurs immobiliers. Le manque d’intérêt
des politiques municipaux pour les petites entreprises a également été relevé.
Les dossiers relatifs aux chambres d’hôtes, à l’image des cafetiers et discothécaires, et la recrudescence des sandwicheries ont
été évoquées. Les avancées obtenues par l’UMIH ont aussi été citées comme
la réduction de
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