Les «aides à l’emploi» sont des palliatifs : le combat pour la TVA continue



Les aides à l’emploi budgétées dans le projet de loi de finances pour 2005 sont destinées à tous les professionnels, cafetiers, restaurateurs, hôteliers, discothécaires pour leurs salariés et pour ceux dont le SMIC s’aligne sur le droit commun.


Tous les professionnels en bénéficieront, c’est inscrit dans la loi de finances.


Le chiffre de 550 millions d’euros pour 2005 s’entend non compris les «allègements de charges» de la loi Fillon et non compris le montant fixé par décret pour le deuxième semestre 2004.


Ne rentrons pas dans la polémique des chiffres.


Peu importe le montant global alloué pourvu qu’aucun chef d’entreprise de CHRD n’en soit exclu. Notre objectif est qu’aucun exploitant ne doit être tenu hors de cette mesure.


L’UMIH a toujours affirmé que les aides à l’emploi ne se substituaient pas au rééquilibrage du taux


de TVA qui est une exigence de justice fiscale


non négociable.


Le Congrès 2004


de Strasbourg qui consacrera la nouvelle équipe marquera


la continuité de la stratégie engagée par le précédent directoire.


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