«Fondamentalement, notre développement est sain, car nous souffrons seulement de la présence d’une dette d’acquisition», indique David Mandefield Président de la filiale française du groupe qui gère l’exploitation mondiale de tous les Meridien. En effet, en 2001, les repreneurs de l’enseigne ont créé une dette, pour financer leur acquisition.
«Nous ouvrons une dizaine de Meridien par an. Nous nous développons plus vite au Moyen Orient et dans certains pays d’Europe, notamment en Allemagne, en Italie et en Europe de l’Est. Nous aimerions également accentuer notre présence aux Etats-Unis.
En France, nous pourrions aussi nous implanter dans des villes comme Toulouse ou Marseille et c’est d’ailleurs un axe de développement que nous envisageons pour l’avenir.
En Asie, nous avons également des projets importants, notamment à Shanghaï (2 ouvertures d’hôtels de 500 chambres prévues en 2005), à Hong Kong (ouverture récente d’un hôtel d’un peu moins de 300 chambres) et dans certaines régions de Chine, aujourd’hui en forte croissance. Dans le même ordre d’idées, le marché indien est très prometteur. Sur les seules années 2004 et 2005, nous avons, par exemple, programmé 8 ouvertures de plus dans ce pays.»
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