S’estimant visés par une répression policière démesurée et déplacée, les cafetiers et discothécaires briochins ont interpellé par voie de presse interposée le Préfet des Côtes d’Armor. Dans une lettre
ouverte, René Lorre, vice-président de l’UMIH 22, y
retranscrit l’état d’esprit de professionnels lassés d’être désignés responsables du comportement incontrôlable d’individus qui cumulent consommation d’alcool et
additifs «spéciaux consommés sur la voie publique». Cafetiers et discothécaires en appellent à la concertation avec les autorités.
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