Le Groupement des Cartes Bancaires avait effectivement annoncé cette obligation, à partir du 1er janvier 2004. Mais son application a posé des problèmes pratiques et l’UMIH est intervenue auprès du Groupement des Cartes Bancaires.
Voici un extrait de la réponse du Groupement des Cartes Bancaires concernant le cryptogramme visuel (uniquement dans le cadre des ventes à distance et no show) :
«Le cryptogramme visuel constitue un élément contributif déterminant dans le dispositif de lutte contre la fraude à distance.
Toutefois, l’examen attentif de l’état de l’environnement technique conduit le Groupement des Cartes Bancaires à moduler l’application de cette règle. C’est pourquoi, la communauté bancaire ne mettra pas immédiatement en place de procédure de refus systématique des transactions faisant l’objet d’une autorisation sans remontée du cryptogramme visuel.
Il est entendu que cet assouplissement transitoire reste strictement subordonné à l’engagement de chacun des acteurs de faire tous ses efforts pour être en mesure de remonter dans les meilleurs délais le cryptogramme visuel, et ce, au plus tard le 30 juin 2004.»
A propos du cryptogramme, la CNIL recommande aux professionnels de ne pas le mémoriser dans leur fichier.
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