L’Apiih Basse-Normandie et le Synhorcat Normandie, présidés respectivement par Patrick Moutafis et Marc Tellier, se sont rassemblés le 6 mai dernier pour former le GNI Normandie. Les deux syndicats mettent en place une co-présidence pour aboutir à une fusion dans un second temps. Une couverture qui permettra au GNI Normandie de devenir l’interlocuteur représentatif auprès des institutionnels, pour une région où les projets ne manquent pas et où les enjeux sont importants, dans l’intérêt des adhérents. Entretien avec Patrick Moutafis, co-président du GNI Normandie, sur la mise en place du syndicat et ses orientations.Comment s’est constitué le GNI Normandie ?
Patrick Moutafis : Essentiel en matière de représentativité, ce rapprochement entre l’Apiih Basse-Normandie et le Synhorcat Haute-Normandie a pour but d’atteindre une entité unique. Le sujet n’aboutissait pas avec la CPIH et nous avons depuis compris pourquoi. Ce revirement de la CPIH qui a rejoint l’Umih, nous a fait perdre du temps. Avec le 
Synhorcat, nous représentons chacun un territoire, 400 « vrais adhérents », à jour de leurs cotisations, provenant de l’Apiih et autant, côté Haute-Normandie.
Nous n’avons pas fondu nos structures directement dans le GNI comme certaines régions, préférant opter pour une phase de fiançailles. Dans un premier temps, nous allons travailler sur la communication en juxtaposant nos logos ainsi que celui du GNI puis nous établirons un calendrier pour mettre en commun
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